Supplément d'ancienneté sur la pension vieillesse


​Le supplément d'ancienneté est : un supplément de 2% sur le montant de la pension de base, pour chaque année d'assurance complète accumulée (12 mois même non consécutifs).
Par exemple : une personne qui a accumulé 15 années d'assurance, a droit à un supplément d'ancienneté au taux de 30%.

Attention, le supplément d'ancienneté maximal qu'il est possible d'obtenir s'élève à 50% de la pension.

Un calculateur de supplément d'ancienneté est à votre disposition qui vous permettra de vérifier quel est le supplément d'ancienneté qui vous revient.

Calcul du supplément d'ancienneté

La période d'ancienneté comprend uniquement les périodes pendant lesquelles vous avez été assuré et résident israélien avant la date d'obtention de la pension vieillesse, y compris les périodes d'assurance pour lesquelles une pension vieillesse n'a pas été payée pour une raison quelconque.

Les périodes d'assurance qui seront prises en compte diffèrent entre hommes et femmes.

Hommes

Dans le calcul d'ancienneté d'un homme seront inclues les périodes pendant lesquelles il était à la fois assuré et résident israélien, même s'il n'a pas travaillé.

Femmes

Dans le calcul d'ancienneté d'une femme seront inclues toutes les périodes pendant lesquelles elle a travaillé, indépendamment de sa situation familiale, ainsi que les périodes énumérées ci-dessous :

  • Les périodes pendant lesquelles elle était célibataire ou divorcée.
  • Les périodes pendant lesquelles elle était mariée à un conjoint couvert par l'assurance vieillesse ou qui n'est pas résident israélien.
  • Les périodes pendant lesquelles elle était veuve et n'a pas reçu une allocation survivants ni une prestation pour personnes à charge suite au décès de son conjoint.
  • Les périodes pendant lesquelles elle était Agouna - c'est-à-dire qu'elle répondait à l'un des critères suivants :
      • Elle était mariée, mais deux ans se sont écoulés depuis la perte de la trace de son conjoint.
      • Son conjoint a séjourné à l'étranger pendant au moins deux ans, sans son consentement, et n'a pas versé des pensions alimentaires pendant cette période.
  • Les périodes pendant lesquelles elle a reçu une allocation d'invalidité.